Nouvelle année, nouveau blog. Il est plus beau, et surtout plus pratique pour moi :D. Les festivités se terminent, et je sais que ça s'accompagne souvent d'un petit coup de blues... C'est pour ça que je viens à la rescousse avec un nouvel article :)
A Sydney il fait toujours beau et chaud. Cependant, il est amusant de noter que la théorie, déjà développée sur ce blog, selon laquelle les catastrophes nous suivent, semble se confirmer. D’énormes inondations ravagent le Nord-Est de l’Australie, dans l’état du Queensland que l’on surnomme « l’état ensoleillé »… Souvent lorsque nous parlons avec les autres voyageurs, on nous demande où nous allons après Sydney. Lorsque nous répondons que nous partons vers le sud et l’ouest, des regards incompréhensifs se posent sur nous. Tout le monde pars sur la côte Est… ça les calmera peut-être…
Côté travail, j’ai trouvé un petit job de développeur web ! C’est Andrew, un australien d’une quarantaine d’année qui cherche quelqu’un pour lui développer 5-6 sites web. Il ne paie pas cher mais je pourrais peut être le négocier un peu. Et puis il me propose aussi d’assurer la mise à jour des sites pour 20$ de l’heure. Ok, je prends.
Nous avons fêté Noël dans notre guest-house. Leslie a préparé des cuisses de dindes, que nous avons mangées avec les pâtes poulet-crème fraiche d’Esteban. A minuit nous avons ouvert les cadeaux. Esteban a reçu un accessoire pour son iPhone, un porte clé, et une place pour l’Imax de Sydney. Leslie a reçu deux robes, un portefeuille Guess, une peluche, et un collier montre à gousset. Quant à moi, j’ai eu le « Broc code » de Barney Sinon, un kit de jeu de cours de récré, des bonbons et des caramels. Quand on a passé tous ses Noël avec sa famille, le passer à plus de 10000km, c’est un peu bizarre.
Les australiens ont beaucoup de jours fériés pendant les fêtes à savoir les 25, 26, 27, 28 décembre, et le 1er et le 3 janvier. Pour payer notre loyer nous devons aller à la poste, et avec tous ces jours fériés, ça a été un peu la galère. Si on ne paye pas le lundi, on nous charge 11$ supplémentaires par jour. Le lundi 27, nous allons à la poste sans savoir que c’est un jour férié. Nous trouvons un premier bureau de poste fermé. Dans le doute, nous allons au suivant. Il nous reste alors deux solutions : le paiement par téléphone, ou le paiement par internet. Nous tentons le paiement par internet. Le site sur lequel nous devons aller n’est pas très explicite sur la procédure à suivre. Après une longue analyse, nous comprenons qu’il faut payer depuis le site de sa banque. Les banques australiennes mettent à disposition un service de paiement des factures depuis le net. Le problème, c’est qu’on ne peut payer que depuis un compte australien. Mon compte en banque est flambant neuf, mais il est encore vide. Esteban se charge de payer ce coup-ci.
Le 30 décembre, nous décidons d’aller faire un tour dans les Blue Mountains. Cette chaine de montagnes se trouve à une centaine de kilomètres de Sydney, et est accessible en train. Elles doivent leur nom au reflet bleu renvoyé par les montagnes, reflet généré par les essences volatiles des forêts d'eucalyptus. Nous partons de chez nous vers 11h. Nous devons rejoindre le centre-ville pour prendre notre train. Nous en avons pour 2h20 de voyage tout de même. Le trajet aller-retour ne nous coute que 10$ par personne, alors qu’un bus aller-retour pour l’opéra en coûte déjà 6,60. Une fois arrivé, nous prenons le temps de nous restaurer. Nous voulons manger rapidement pour commencer notre trial. Nous avons choisis un parcours pas trop difficile qui fait entre 3,5 et 5km en fonction des indications. Nous nous arrêtons chez « Friars tucker », un fast food tenu par un vieux monsieur. Les burgers ont l’air plutôt bon, bien garnis et préparés avec amours. Nous attendons un peu devant le comptoir, jusqu’à ce que le cuisto vienne nous dire qu’il va nous falloir attendre quelques minutes avant de prendre notre commande mais que ce ne sera pas long. 5 minutes plus tard, il revient et prend notre commande. Un groupe de 6 personnes arrivent et passent leur commande également. De longues minutes s’écoulent, et nous voyons le groupe de 6 être servis. Un petit coup d’œil sur les fourneaux, et on se rend compte que plus rien ne cuit. Le cuisinier nous interpelle pour nous demander si on se souvient de ce que l’on avait commandé -_-‘ . Heureusement que je m’en souviens grrr. On lui rappelle notre commande, et au bout de quelques minutes, nous sommes enfin servis. Quand je dis nous, je parle de Leslie et moi, car le cuisto semble avoir totalement oublié la commande d’Esteban. Au bout d’un certain temps, Esteban lui réclame une portion de frite. Se rendant compte de son erreur, le vieil homme lui en fait cadeau. Et hop, plus d’une heure passée dans un « fast » food, pas mal. Tout ça pour des burgers finalement pas délicieux. Leslie en a été malade une partie de l’après-midi. Vers 15h nous commençons enfin notre randonnée. Leslie et moi avons chaussé nos chaussures de marche pour l’occasion. En revanche, nous sommes en short. Et quand on sait toutes les bestioles qui peuvent se balader dans les herbes qui nous chatouillent les mollets, c’est un peu stressant. Le sentier nous fait descendre pendant un moment jusqu’à ce que nous arrivions au niveau d’une petite rivière. Un peu plus loin nous arrivons au bord d’une « plage » de 2 mètres de longsJ. Encore un peu plus loin, nous arrivons près d’une piscine naturelle sous une petite cascade. Nous y croisons un groupe de personnes qui arrive dans l’autre sens. Je leur demande si le bout du sentier est encore loin. Ils me répondent que c’est à 10 minutes. Une des personnes me demande en français si nous sommes français. J’acquiesce et lui demande la même chose. Elle me dit que non et m’invite à deviner leur origine. Dans sa dernière phrase, j’ai entendu un léger accent. Je propose, la Belgique, puis la Suisse. Finalement, ils sont russes. Six russes, qui viennent des 4 coins du monde, et qui parlent tous parfaitement français. C’est surprenant.
Alors que nous sommes tout près de la fin, un escalier nous mène vers un point de vue. Jusqu’à présent, la ballade était sympathique mais le décor n’était pas très montagneux. Une fois en haut, on se prend une grosse claque. Nous sommes face à une énorme vallée, au bord d’une falaise. On à l’impression d’avoir été téléporté tant le changement de décors est brutal. Plusieurs cascades s’écoulent autour de nous. Deux arcs-en-ciel surplombent le canyon. Cette vue récompense bien nos efforts. D’autant qu’il nous reste encore pas mal de temps avant de rentrer.
Le lendemain, nous sommes le 31. Pour voir le feu d’artifice depuis les meilleures places, les gens campent depuis le matin. Nous ne voulons pas passer toute notre journée sans bouger, nous prendrons donc notre temps. En milieu d’après-midi, Esteban part de son côté. Il se pose dans un endroit à accès limité. Nous ne le reverrons que le lendemain. Leslie et moi partons en direction du quartier des Rocks. Nous nous trouvons entre le l’opéra et le pont. Il y a déjà beaucoup de personnes. Nous trouvons une petite place pour nous assoir. Je pars nous acheter à manger, mais le temps que je revienne, la zone a atteint sa capacité maximale et plus personne ne peux rentrer. Heureusement on me laisse passer après avoir expliqué que Leslie m’attendait. D’autres n’ont pas cette chance. Ainsi un monsieur qui attendait sa femme avec son fils a dû s’en aller, car sa femme ne pouvait pas les rejoindre. A 21h, nous assistons à un premier feu d’artifice destinés aux plus jeunes. Juste après, une brèche se crée dans les barrières de sécurité, et des dizaines de nouvelles personnes rentrent dans la zone. Nous commençons à être vraiment à l’étroit. Une bande d’indiens nous entoure. Petit à petit, ils s’accaparent tout l’espace autour de nous. Si on s’avance un peu pour s’étirer, il trouve le temps de glisser un sac qui nous empêche de nous remettre dans la position initiale. La matriarche du clan finit même assise au milieu d’un groupe de 3 personnes, assise sur leurs affaires. C’est assez hallucinant. Après plusieurs heures d’attente, nous assistons enfin au feu d’artifice. Il est très joli, même si j’imaginais quelque chose de plus massif. Il y a des nombreux bateaux dans la baie. Les propriétaires de voiliers ont installés dans guirlandes sur les voiles. Une fois allumées, on a l’impression de voir naviguer des bateaux fantômes dont juste la silhouette se dessine dans l’obscurité. En quittant la zone, nous nous rendons compte du monde qu’il y a dans les rues. Des gens partout, par centaines de milliers, il ne faut vraiment pas être agoraphobe. Pour continuer la soirée, Leslie et moi prenons la route de Darling Harbour. Nous passons le reste du réveillon dans une boîte de nuit, autant que Leslie est aux anges !
Le premier janvier, pas de place pour le blues après les fêtes de fin d’année. Esteban retourne se balader dans les Blues Mountains. Leslie et moi partons pour Watson Bay, à l’Est de Sydney. Pour y aller nous prenons le ferry. Au bout de 20 minutes nous arrivons dans un parc national, au sein de la ville. C’est un paysage de falaises magnifique. Les soleils brillent, le ciel est bleu, c’est parfait. Après nous être baladé un peu, nous allons nous reposer sur la plage. Par contre, l’eau reste vraiment très fraiche.
Et voilà pour ces derniers jours. Et bien sûr, meilleurs vœux pour 2011 !
A Sydney il fait toujours beau et chaud. Cependant, il est amusant de noter que la théorie, déjà développée sur ce blog, selon laquelle les catastrophes nous suivent, semble se confirmer. D’énormes inondations ravagent le Nord-Est de l’Australie, dans l’état du Queensland que l’on surnomme « l’état ensoleillé »… Souvent lorsque nous parlons avec les autres voyageurs, on nous demande où nous allons après Sydney. Lorsque nous répondons que nous partons vers le sud et l’ouest, des regards incompréhensifs se posent sur nous. Tout le monde pars sur la côte Est… ça les calmera peut-être…
Côté travail, j’ai trouvé un petit job de développeur web ! C’est Andrew, un australien d’une quarantaine d’année qui cherche quelqu’un pour lui développer 5-6 sites web. Il ne paie pas cher mais je pourrais peut être le négocier un peu. Et puis il me propose aussi d’assurer la mise à jour des sites pour 20$ de l’heure. Ok, je prends.
Nous avons fêté Noël dans notre guest-house. Leslie a préparé des cuisses de dindes, que nous avons mangées avec les pâtes poulet-crème fraiche d’Esteban. A minuit nous avons ouvert les cadeaux. Esteban a reçu un accessoire pour son iPhone, un porte clé, et une place pour l’Imax de Sydney. Leslie a reçu deux robes, un portefeuille Guess, une peluche, et un collier montre à gousset. Quant à moi, j’ai eu le « Broc code » de Barney Sinon, un kit de jeu de cours de récré, des bonbons et des caramels. Quand on a passé tous ses Noël avec sa famille, le passer à plus de 10000km, c’est un peu bizarre.
Les australiens ont beaucoup de jours fériés pendant les fêtes à savoir les 25, 26, 27, 28 décembre, et le 1er et le 3 janvier. Pour payer notre loyer nous devons aller à la poste, et avec tous ces jours fériés, ça a été un peu la galère. Si on ne paye pas le lundi, on nous charge 11$ supplémentaires par jour. Le lundi 27, nous allons à la poste sans savoir que c’est un jour férié. Nous trouvons un premier bureau de poste fermé. Dans le doute, nous allons au suivant. Il nous reste alors deux solutions : le paiement par téléphone, ou le paiement par internet. Nous tentons le paiement par internet. Le site sur lequel nous devons aller n’est pas très explicite sur la procédure à suivre. Après une longue analyse, nous comprenons qu’il faut payer depuis le site de sa banque. Les banques australiennes mettent à disposition un service de paiement des factures depuis le net. Le problème, c’est qu’on ne peut payer que depuis un compte australien. Mon compte en banque est flambant neuf, mais il est encore vide. Esteban se charge de payer ce coup-ci.
Le 30 décembre, nous décidons d’aller faire un tour dans les Blue Mountains. Cette chaine de montagnes se trouve à une centaine de kilomètres de Sydney, et est accessible en train. Elles doivent leur nom au reflet bleu renvoyé par les montagnes, reflet généré par les essences volatiles des forêts d'eucalyptus. Nous partons de chez nous vers 11h. Nous devons rejoindre le centre-ville pour prendre notre train. Nous en avons pour 2h20 de voyage tout de même. Le trajet aller-retour ne nous coute que 10$ par personne, alors qu’un bus aller-retour pour l’opéra en coûte déjà 6,60. Une fois arrivé, nous prenons le temps de nous restaurer. Nous voulons manger rapidement pour commencer notre trial. Nous avons choisis un parcours pas trop difficile qui fait entre 3,5 et 5km en fonction des indications. Nous nous arrêtons chez « Friars tucker », un fast food tenu par un vieux monsieur. Les burgers ont l’air plutôt bon, bien garnis et préparés avec amours. Nous attendons un peu devant le comptoir, jusqu’à ce que le cuisto vienne nous dire qu’il va nous falloir attendre quelques minutes avant de prendre notre commande mais que ce ne sera pas long. 5 minutes plus tard, il revient et prend notre commande. Un groupe de 6 personnes arrivent et passent leur commande également. De longues minutes s’écoulent, et nous voyons le groupe de 6 être servis. Un petit coup d’œil sur les fourneaux, et on se rend compte que plus rien ne cuit. Le cuisinier nous interpelle pour nous demander si on se souvient de ce que l’on avait commandé -_-‘ . Heureusement que je m’en souviens grrr. On lui rappelle notre commande, et au bout de quelques minutes, nous sommes enfin servis. Quand je dis nous, je parle de Leslie et moi, car le cuisto semble avoir totalement oublié la commande d’Esteban. Au bout d’un certain temps, Esteban lui réclame une portion de frite. Se rendant compte de son erreur, le vieil homme lui en fait cadeau. Et hop, plus d’une heure passée dans un « fast » food, pas mal. Tout ça pour des burgers finalement pas délicieux. Leslie en a été malade une partie de l’après-midi. Vers 15h nous commençons enfin notre randonnée. Leslie et moi avons chaussé nos chaussures de marche pour l’occasion. En revanche, nous sommes en short. Et quand on sait toutes les bestioles qui peuvent se balader dans les herbes qui nous chatouillent les mollets, c’est un peu stressant. Le sentier nous fait descendre pendant un moment jusqu’à ce que nous arrivions au niveau d’une petite rivière. Un peu plus loin nous arrivons au bord d’une « plage » de 2 mètres de longsJ. Encore un peu plus loin, nous arrivons près d’une piscine naturelle sous une petite cascade. Nous y croisons un groupe de personnes qui arrive dans l’autre sens. Je leur demande si le bout du sentier est encore loin. Ils me répondent que c’est à 10 minutes. Une des personnes me demande en français si nous sommes français. J’acquiesce et lui demande la même chose. Elle me dit que non et m’invite à deviner leur origine. Dans sa dernière phrase, j’ai entendu un léger accent. Je propose, la Belgique, puis la Suisse. Finalement, ils sont russes. Six russes, qui viennent des 4 coins du monde, et qui parlent tous parfaitement français. C’est surprenant.
Alors que nous sommes tout près de la fin, un escalier nous mène vers un point de vue. Jusqu’à présent, la ballade était sympathique mais le décor n’était pas très montagneux. Une fois en haut, on se prend une grosse claque. Nous sommes face à une énorme vallée, au bord d’une falaise. On à l’impression d’avoir été téléporté tant le changement de décors est brutal. Plusieurs cascades s’écoulent autour de nous. Deux arcs-en-ciel surplombent le canyon. Cette vue récompense bien nos efforts. D’autant qu’il nous reste encore pas mal de temps avant de rentrer.
Le lendemain, nous sommes le 31. Pour voir le feu d’artifice depuis les meilleures places, les gens campent depuis le matin. Nous ne voulons pas passer toute notre journée sans bouger, nous prendrons donc notre temps. En milieu d’après-midi, Esteban part de son côté. Il se pose dans un endroit à accès limité. Nous ne le reverrons que le lendemain. Leslie et moi partons en direction du quartier des Rocks. Nous nous trouvons entre le l’opéra et le pont. Il y a déjà beaucoup de personnes. Nous trouvons une petite place pour nous assoir. Je pars nous acheter à manger, mais le temps que je revienne, la zone a atteint sa capacité maximale et plus personne ne peux rentrer. Heureusement on me laisse passer après avoir expliqué que Leslie m’attendait. D’autres n’ont pas cette chance. Ainsi un monsieur qui attendait sa femme avec son fils a dû s’en aller, car sa femme ne pouvait pas les rejoindre. A 21h, nous assistons à un premier feu d’artifice destinés aux plus jeunes. Juste après, une brèche se crée dans les barrières de sécurité, et des dizaines de nouvelles personnes rentrent dans la zone. Nous commençons à être vraiment à l’étroit. Une bande d’indiens nous entoure. Petit à petit, ils s’accaparent tout l’espace autour de nous. Si on s’avance un peu pour s’étirer, il trouve le temps de glisser un sac qui nous empêche de nous remettre dans la position initiale. La matriarche du clan finit même assise au milieu d’un groupe de 3 personnes, assise sur leurs affaires. C’est assez hallucinant. Après plusieurs heures d’attente, nous assistons enfin au feu d’artifice. Il est très joli, même si j’imaginais quelque chose de plus massif. Il y a des nombreux bateaux dans la baie. Les propriétaires de voiliers ont installés dans guirlandes sur les voiles. Une fois allumées, on a l’impression de voir naviguer des bateaux fantômes dont juste la silhouette se dessine dans l’obscurité. En quittant la zone, nous nous rendons compte du monde qu’il y a dans les rues. Des gens partout, par centaines de milliers, il ne faut vraiment pas être agoraphobe. Pour continuer la soirée, Leslie et moi prenons la route de Darling Harbour. Nous passons le reste du réveillon dans une boîte de nuit, autant que Leslie est aux anges !
Le premier janvier, pas de place pour le blues après les fêtes de fin d’année. Esteban retourne se balader dans les Blues Mountains. Leslie et moi partons pour Watson Bay, à l’Est de Sydney. Pour y aller nous prenons le ferry. Au bout de 20 minutes nous arrivons dans un parc national, au sein de la ville. C’est un paysage de falaises magnifique. Les soleils brillent, le ciel est bleu, c’est parfait. Après nous être baladé un peu, nous allons nous reposer sur la plage. Par contre, l’eau reste vraiment très fraiche.
Et voilà pour ces derniers jours. Et bien sûr, meilleurs vœux pour 2011 !
Les Blues Mountains :
Watson bay :
Et à la demande de Sébastien, quelques photos de notre chambre :